Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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21 janvier 2016

Assange, Snowden, Manning pourchassés/en prison pour viol de la Sécurité Nationale... et quid d'Hillary?




             Julian Assange, Edward Snowden, Bradley Manning : Tous les trois ont violé les plus hauts secrets [Top Secrets] de la Sécurité Nationale des États-Unis, et tous se cachent ou sont en prison : qu'en est-il d'Hillary Clinton et de ses violations SAP[1]/Top Secret? Je vote pour qu'Hillary aille en prison en 2016!
Jeux de mots tout à fait croustillant : non pas « Hillary for President » [slogan de campagne = «(votez) pour (qu')Hillary soit Présidente]», 
mais « Hillary for prison » : « (votez) pour (qu') Hillary soit en Prison ».

            Alors que je pensais en avoir fini avec Hillary, et qu'il n'y avait absolument plus rien de plus à ajouter, j'ai appris qu'elle avait reçu des informations "Top Secret" et SAP sur son téléphone mobile[2].
            SAP, pour ceux qui comme moi ne connaissaient pas, signifie Special Access Programs, d'après Wikipedia. Cette appellation concerne des actions relevant de projets hautement sensibles, de type "black-Ops" ["Opérations noires / projets noirs"], assortis d'une clause de non-divulgation.
            Il y a trois différentes catégories de SAPs au sein du DOD [Department of Defense, Ministère de la Défense américain] :
            – Acquisition SAP [AQ-SAP] : SAP "Acquisition"
            – Intelligence SAP [IN-SAPS] : SAP "Renseignement"
            – Operations and Support SAPS [OS-SAPS] : SAP "Opération et soutien"
           
            Si vous passez davantage de temps sur Wikipedia, vous comprendrez les différences majeures entre ces classifications . C'est suffisant pour que chacun comprenne, incluant le Géneral David Petraeus qui avait violé les procédures TS [Top Secret[3]] et qui fut pour cela puni d'une amende monétaire et d'une possible dégradation (la sanction est encore pendante). Assange, Snowden et Manning, tous les trois ont eux aussi gagné la distinction d'avoir violé des secrets relevant de la Sécurité Nationale des États-Unis, et ont finalement eu à s'enfuir du pays afin de rechercher quelques secours ; ou dans le cas de Manning, il/elle a été envoyé en prison.

            À présent, Hillary, comme d'habitude, n'a pas été capable d'admettre que ce qu'elle a pu recevoir sur sa grosse uzine à gaz de serveur non classifié, commercial, était en fait classifié à très haut niveau[4]. Elle a fait mention de manière répétée, du fait qu'elle n'avait ni lu ni reconnu une quelconque classification sur son téléphone mobile qui constituait en ce sens une source grande ouverte [open source : ouverte à tous ceux qui désiraient espionner les États-Unis grâce à son indolence].
            Bien sûr qu'elle ment.
 

            En fait, son crime est tellement perfide qu'il nous coûte à nous, contribuables, des millions de dollars inutiles pour que le FBI alloue une centaine d'agents spéciaux approximativement, afin d'examiner tous ces e-mails soi-disant non classifiés.
            Ça va aller de mal en pis pour Hillary.
            Plus longtemps elle va attendre et refuser d'admettre ses péchés, et plus grand sera ledit péché [sous l'angle de son appréciation juridique]. C'est une chose que de commettre une erreur de manipulation d'informations classifiées, y compris jusqu'au niveau Top Secret [le plus haut niveau que tout fonctionnait rêve d'atteindre]. Mais c'est une tout autre chose que de dénier toute responsabilité dans le cadre d'une violation SAPs, qui peut être de nature à compromettre des plans et des vies à l'occasion d'opérations noires [black operations], qui en réalité sont supposées ne jamais exister...
            Ceci obvierait [causerait un obstacle fâcheux] à la "sanctification" [à la mise au secret] des opérations noires [black ops], et dans le même temps placerait d'innombrables braves opérationnels opérant sous couverture en danger de mort. Il s'agit là d'une violation majeure de la loi fédérale, immoral en elle-même par son caractère antiaméricain [antinational : allant contre la Nation]. Un délit au moins passible d'emprisonnement voire pire.
           

            Hillary ne fait pas exception à cette vérité! À présent, nous devrions le savoir à travers ceci, il s'agit dorénavant d'une partie de son histoire reconnue : aux côtés du scandale du whitewater, des profits engendrés sur de fausses matières premières, les scandales de la Maison-Blanche, du 11 septembre, qu'avons-nous besoin d'autres comme preuve, que cette famille n'est qu'immondice et doit être mise au rebut?
            Plus longtemps elle ment, pire devrait être la sentence, aggravant son temps [d'emprisonnement] en année si ce n'est en décennies. Elle doit penser qu'elle ne peut pas et ne va pas être tenue responsable sur le fondement d'une exigence morale, les mêmes sur lesquels nous avons tous a jurer au sein du Renseignement et du Département d'État, et du reste à signer des papiers spécifiques reconnaissant notre culpabilité, pour le cas où nous violerions de fait ce serment. Hillary va bientôt découvrir, comme le reste de nous autres, que ce type de crime éclatant ne paye pas...

            Comment le sais-je donc?
            Je n'ai pas de connaissances spéciales, autres que la foi que j'ai fondée dans un groupe de professionnels du FBI et du Département de la Justice en lequel je crois capable, contre tout espoir, d'agir en conséquence. Est-ce que je pense que Obama va interférer dans l'investigation finale, dont je suis certain qu'elle va reconnaître Hillary coupable de crimes contre l'État?
            Non !
            À présent je crois que Obama a décidé que son ascendance politique, de même que ses huit ans de mandat en tant que POTUS, ont eu leur lot de chicaneries et magouilles impliquant Bill et Hillary Clinton. Obama désire laisser une légende concernant ses réalisations en politiques domestiques et étrangères, que viendrait entacher toute mention concernant les Clinton, bonne ou mauvaise.

            Obama va donc devoir déterminer, si le général Petraeus doit être dégradé pour des charges personnelles pesant contre la sécurité nationale.
            Je crois que Petraeus peut avoir été coupable, de confusion quant à l'"arme" avec laquelle il était supposé tirer en présence de son biographe. Ceci ne remet pas en question les réalisations qu'il a pu accomplir, de nature à fonder sa promotion en tant que général quatre étoiles. Cette dernière est basée sur ses capacités de guerrier. L'autre a à voir avec des faillibilités personnelles. Les deux composantes ne devraient pas être confondues, à l'occasion de l'attribution d'un châtiment potentiel. Pas plus que ce châtiment ne devrait être rétroactif, autrement notre histoire et nos personnels pourraient être tenus responsables sur le fondement des plus petits caprices.

            Hillary a atteint l'apogée de sa carrière, elle en est au point d'après [post-peak], duquel elle ne peut plus que redescendre. Elle a accompli ce que aucun autre secrétaire d'État n'a jamais fait : avoir violé délibérément la Sécurité Nationale, de même que compromis des opérationnels couverts [covert operatives = agissant sous couverture], risquant leur vie autour du monde dans des programmes d'opérations noires[5] qui en premier lieu, sont supposés ne jamais avoir existé, et en second lieu ont pour objet de protéger notre pays. Je n'ai jamais assisté à temps d'infantilité autosatisfaite et suffisante, autant de capacité à s'illusionner soi-même [self-delusion] que ce qui s'est révélé chez Hillary, encore et encore...

            Je suggère à l'Association Psychiatrique Américaine  [American Psychiatric Association, APA], à laquelle je n'appartiens pas, de créer une catégorie inédite et complètement séparée de sociopathie appelée le "CLINTONISME", où une personne est capable de se considérer soi-même comme étant totalement délié de toutes les règles communément admises au sein d'une société, et devenant par la même un modèle de comportement futur factice.
            En passant, cette maladie pourrait être contagieuse. Elle est en effet connu pour sa prévalence sous forme de "grappes" [clusters] familiales sur plusieurs générations, tant chez les garçons que chez les filles. Nous pourrions faire entrer cette nouvelle maladie au sein du DSTM (Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux  [Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders -  DSM]), sous le nom de
sociopathus extraordinaris.

 
            Je suis résolu à voter pour qu'Hillary Clinton aille en prison en 2016!!!
S'il vous plaît, votez avec moi et nos autres compatriotes américains pour la virer une bonne fois pour toutes!!!



BONUS :La liste des dons et leur origine, que la fondation Clinton a pu recevoir...







[1] SAP [Special access programs] : protocole de sécurité du Gouvernement fédéral des États-Unis d'Amérique, fournissant des sauvegardes des restrictions d'accès à l'information hautement classifiée, excédant les mesures appliquées aux information classifiées de manière habituelle [regular]/collatérale [collateral]. SAP peut être considéré comme un type de "projet noir" ["black project"). En plus des contrôles collatéraux, un SAP peut imposer des exigences plus strictes en matière d'investigation et d'adjudication, spécialement des accords de non-divulgation, des terminologies spéciales et autres marquages spécifiques, l'exclusion de toute investigation concernant les contrats concernés, et jusqu'à la création de sous-entreprises spécifiques ["carve-outs", littéralement "taille externe" : sous-entreprise créée spécialement pour un contrat donné, avec personnels et moyens dédiés], ainsi qu'un système centralisé de logement des personnels travaillant sur place (par exemple pour les installations énigmatiques que l'on peut trouver dans certaines bases souterraines aux États-Unis...).
Un "projet Noir" ("black project"), correspond au États-Unis ou au Royaume-Uni à un projet militaire ou de défense hautement classifié, n'étant pas rendu public par le Gouvernement, le personnel militaire ou les cocontractants du domaine de la défense [defense contractors]. Par exemple les avions militaires américains qui furent développés en tant que "projets noirs/black projects" incluent les bombardiers furtifs F-117 Nighthawk ou B-2 Spirit, qui furent tous deux classifiées et dont l'existence fut déniée, jusqu'à ce qu'il soient prêt à être déployés et furent alors annoncés au public (à l'occasion notamment de la guerre du Golfe, où l'on vit pour la première fois les F-117 à l'œuvre). Aux États-Unis, le terme formel pour un "projet noir/black project est SAP : Special access program.
Pour de très rares développements en français sur la question du développement du F-117 et du B-2, voir les investigations et intuitions de l'astrophysicien français hautement méritant Jean-Pierre Petit, spécialiste en mécanique des fluides : (site de Jean-Pierre Petit, sur le B2, sur le F-117).
[3] Sur les différentes classifications, voir :  « The Spy Satellite Secrets in Hillary’s Emails » (DailyBeast, 8-12-15), également Wikipedia (Anglais) distinguant informations classifiée et compartimentée (cloisonnement).


[5] Pieczenik a fait ce genre de choses, il parle exactement en connaissance de cause, d'où son aigreur totalement légitime ici...