Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake
...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

21 janvier 2016

Plutôt qu'une fausse guerre Iran-USA+Israel, une union globale contre l'EIIL, y compris avec la Turquie?



  
Tandis que nos Novices de Guerres crient à la vengeance contre  l'Iran, la Turquie est prête à envahir la Syrie!

         Parfois, la diplomatie multilatérale, de concert avec les structures de la force militaire,  fonctionne vraiment. Indépendamment de la grêle de pleurs concernant « nos braves marins capturés et humiliés par l'Iran[1]», un narratif beaucoup plus important se déploie au Moyen-Orient. En passant, l'Iran n'a pas "capturé", ni "humilié" nos marins. Ils ont en fait aidé nos jeunes hommes à retracer leur erreur de navigation, et les ont placés hors de danger.


         Mais dans le même temps, d'après des renseignements fiables (Stratfor; 19 janvier 2016[2]), la Turquie est en train de préparer une invasion terrestre majeure en Syrie pour enfin dégager la zone de terrain que l'EI occupe le long de la frontière syro-turque. En conjonction avec les Russes, les Iraniens et les forces militaires des États-Unis, la Turquie a demandé l'autorisation de déminer les champs de mines placées le long de la frontière de la ville syrienne contrôlée par l'EI de Jarabulus, en préparation d'une invasion terrestre de la Syrie.
         Parallèlement, la Russie a tempéré sa colère née des suites de l'aberrante attaque contre un Sukhoï Su-24, descendu par la Turquie il ya quelque temps. En retour, la Turquie a promis qu'elle ne marcherait pas contre les zones tampons situées vers de la Méditerranée, qui sont contrôlées par Bachar al-Assad et ses forces gouvernementales syriennes, ainsi que les troupes russes.

          Ce qui va se passer, à mon humble avis, c'est un mouvement massif "en tenaille"[3] contre  l'EIIL parrainé par l'Arabie, via une attaque par le Nord mené par les troupes turques afin de nettoyer la présence de l'EI dans la ville d'Alep (qui fut autrefois la belle ville où Agatha Christie écrivait ces mystérieuses histoires] ; tandis que les unités de protection du peuple kurde  [GPJ] vont étendre avec succès leurs assauts depuis la part Est de la Syrie vers l'Ouest (jusqu'à l'Euphrate ). Depuis le sud, les forces gouvernementales syriennes, soutenues par la puissance russe sur terre et dans les airs, avanceront  vers le nord et la ville d'al-Bab. De l'ouest, enfin, les forces rebelles soutenues par les forces militaires turques (Salle des opérations Mare [Mare operations Room] se déplaceront donc vers l'Est.

[Schéma réalisé à partir de données russes : « Russian air force provides support for 7,000 Syrian rebels advancing on ISIS – General Staff [Etat-Major russe : l'Armée de l'air russe fournit l'appui aérien à 7000 rebelles syriens avançant sur  l'EEIL]» (Russia Today : 11 Jan, 2016) ] : 

         En termes d'effets, nous devrions assister au début de la fin du contrôle sur la Syrie par l'EI ; et peut-être même sur l'Irak. Le Vice-président [VP] Joe Biden et la Secrétaire Adjoint américaine pour l'Europe, Mme Victoria Nuland (notre néo-conne favorite et ses jurons [profanity-shouting neo-con]...) iront à Istanbul pour coordonner l'avance de l'Armée turque avec l'Iran, la Russie, le Hezbollah et les autres parties au conflit. Pour ceux d'entre vous qui se soucient de la Terre Sainte, Israël, ils ont été assurés par le Gouvernement américain et la Russie, qu'aucun missiles ou aucune opération de guérilla ne va empiéter sur ses territoires supposés [supposed territories].
         Cette invasion terrestre turque majeure en Syrie, peut être justement le bon catalyseur qui donnera enfin vie aux souhaits de longue date de M. Obama, de ne pas envoyer des troupes américaines en Syrie. Nous avons des bottes américaines dans le sol. Pourtant, comme la plupart des jeux de guerres[4] des différents Présidents, ces "bottes" américaines se limitent selon les nomenclatures bien définies, à des mercenaires, des Forces Spéciales, et autres combattants "par procuration" [proxies]. Non pas des authentiques fantassins américains ordinaires!


         La nouvelle Guerre des Drones [Drone Warfare] a semble-t-il misé
sur l'inversion de nos résultats stratégiques militaires. Au lieu de mesurer ces résultats en termes de "décompte des corps " [Body Count],  ce que nous avions follement mis en place durant la guerre du Vietnam (malheureusement arrangé par le Département des Sciences Politiques [Political Science Department] du MIT, nous ordonnons à présent à nos officiers de minimiser les pertes sur le champ de bataille. Dès lors, un capitaine ou Major militaires américains doit être sur qu'il ne gagnera aucun conflit : au lieu de cela, il /elle doit éviter les engagements non nécessaires, afin de maximiser le nombre d'hommes ramenés à la maison, vivants et intacts.
         Voici donc, la nouvelle approche de la guerre moderne ces jours-ci.
         J'ai écrit depuis de nombreuses années au sujet de nos meilleurs alliés dans les zones de conflit, qui ont été en fait ces apparents "terroristes musulmans" qui ont dévasté nos soldats américains durant la folle invasion de l'Irak.
         Les Américains dépendent à présent en premier lieu des braves soldats chiites fournis par les Gouvernement de l'Iran [IRG], et du Hezbollah. De cette façon, nous américains, devrions tenir compte du fait que ni l'ayatollah Khomeiny, ni Sayyed Hassan Nasrallah ne sont fous, ni même anti-américains, ni anti-Israël. Toute rhétorique contraire irait à l'encontre de la délicate coalition construite au fil des décennies par plusieurs Présidents américains ainsi que la Communauté de la CIA / MI [Military Intelligence - DIA].
         Les temps ont changé. Ceux qui étaient autrefois nos ennemis, sont devenus nos alliés. Et, nos anciens alliés, les Saoudiens, sont devenus nos ennemis potentiels.
         Voilà la nature de la Realpolitik...



         Souvenez-vous : les Américains n'ont pas d'amis, uniquement des intérêts nationaux, et nous bâtissons nos alliances en fonction de ceux-ci. Pour le moment, donnons au POTUS et à notre Communauté du Renseignement/à nos militaires un espace pour respirer, afin qu'ils puissent faire ce qu'ils ont fait de mieux : garder nos hommes et nos femmes loin des zones de danger, avec un ou minimal en termes de "décompte des corps".
         Une fois encore, Erdogan : bienvenue en Syrie! Ne prenez s'il vous plaît pas trop longtemps afin de balayer l'EIIL... Essayez également si vous plaît, de stopper vos luttes intestines avec les kurdes....
         Ainsi que la dit une fois le vieil homme de 2000 ans, Mel Brooks :  "bonne chance !" ["Good luck[5]!]




Commentaire CVR : 
            –C'est une leçon de pragmatisme/réalisme géopolitique [Realpolitik] qui est ici donnée... Est à remarquer la paraphrase de l'axiome célèbre de Lord Palmerston, selon lequel «l'Angleterre n'a pas d'amis ou d'ennemis permanents, seulement des intérêts permanents »).
            –se dessine clairement une union des hommes de bien entre les militaires russes, syriens et iraniens part, américains d'autre part...
            –la situation en Turquie semble intéressante : il est possible que l'Armée turque soit en train de collaborer avec les États-Unis, et la Russie, de façon concurrente à l'intention précédante d'Erdogan (nourri par l'argent des Saouds et encouragé par ses liaisons dangereuses israéliennes)...
            –... mais il est aussi possible que cette incursion turque en Syrie, se fasse au nom d'une logique de nuisance maximum, en multipliant les possibilités d'incidents directs entre un pays de l'OTAN et la Russie...

            Situation est réellement celle d'un "duel des destins", reprenant substance le propos de plusieurs interventions précédentes de Pieczenik :
            1–ou bien la Turquie va continuer jouer au va-t-en-guerre jusqu'au bout, faisant le jeu d'Israël et des Saouds, dans une optique de nuisance maximale et de balkanisation de la zone... et elle a tout à y perdre!
            2– ou bien c'est une union complète qui va se faire contre l'État islamique (et donc bientôt contre les Saouds), la Turquie espérant ne pas se faire également dépecer (en voyant émerger un Kurdistan taillé sur son territoire...), en rejoignant à temps le "camp du bien", et dans ce cas Israël sera mécaniquement forcé de mettre de l'eau dans son vin... Cette solution "de raison" pour la Turquie semble très optimiste de la part de Pieczenik, au vu des ambitions avouées d'Erdogan financées par les Saoud, et récemment encouragées par Joe Biden (Vice-président américain) en voyage officiel à Ankara...




Rapprocher : « Palace Intrigue at a Time of Transition [intrigues de palais dans une époque de transition ]» (Stratfor, 16 janvier 2016) :

    « Durant les deux dernières semaines, l'Arabie Saoudite a outragé le monde avec l'exécution du clerc chiite Nimr al-Nimr, et rendu les investisseurs frénétiques quant à la possible vente massive d'actions de la plus grande compagnie pétrolière du monde, la Saudi Arabian Oil Co.
    de nombreux observateurs attribuent les comportements du pays aux personnalités royales dominantes de ces jours-ci. Les médias occidentaux ont décrit le dauphin et ministre de la défense, Mohammed ben Salmane, 30-ans et 10 favoris du roi Salmane, comme aussi arrogant, naïf et impulsif, et l'on crédité d'une volonté de transformer le royaume saoudien en quelque chose comme un territoire imprévisible.
    Le jeune prince s'est récemment révélé lui-même, dans une longue entrevue qu'il a octroyée à The Economist : une nette rupture avec la tradition royale saoudienne, consistant à fournir des déclarations publiques laconiques à des médias étroitement contrôlés appartenant à l'Etat. Il a parlé relativement librement de son désir de libéraliser l'économie et a défendu la politique de son pays envers l'Iran. Cependant, le prince a minimisé son rôle dans la mise en place d'une politique saoudienne plus agressive, en soulignant que le Royaume est "un pays dinstitutions", où les ministères concernés fournissent des informations à un roi qui prend les décisions finales.
    Et peut-être trop généreux pour décrire les politiques saoudiennes. Après tout, l'Arabie Saoudite est mieux connue pour son emphase et sa façon de privilégier les politiques tribales familiales, tôt que pour sa maturité institutionnelle. Pourtant, il y a certainement davantage de mainmise sur les actions du royaume, un prince novice ayant un appétit pour le risque... »


Tempérer cependant par : 

« La Turquie met en garde contre tout déploiement russe à sa frontière avec la Syrie » (©AFP / 22 janvier 2016 14h37 - [non confirmé!]) http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=669433:

                Ankara - Le président turc Recep Tayyip Erdogan a mis en garde vendredi contre tout mouvement de troupes à sa frontière avec la Syrie, en écho à des informations faisant état d'un récent mouvement de soldats russes à l'aéroport de Qamichli (nord).
                Nous l'avons dit depuis le début: nous ne tolérerons pas de telles formations (de troupes) le long de la zone qui va de la frontière irakienne jusqu'à la Méditerranée, a déclaré M. Erdogan à la presse à l'issue de la prière du vendredi.
                Nous restons très sensibles à cette question, a-t-il ajouté, précisant qu'il en parlerait samedi lors d'un entretien prévu à Istanbul avec le vice-président américain Joe Biden.
                L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a rapporté que quelques dizaines de soldats et d'ingénieurs russes avaient été signalés ces derniers jours à l'aéroport de Qamichli, juste en face de la ville turque de Nusaybin (sud-est).
                M. Erdogan a fait état vendredi d'informations évoquant 200 soldats russes.
                Qamichli, une ville à majorité kurde de la province de Hassaké, est sous contrôle conjoint des autorités kurdes locales et du régime syrien.
                Une source proche du gouvernement turc a précisé vendredi que la Turquie suivait de près les activités militaires russes à sa frontière avec la Syrie.
                Je peux vous dire que la Turquie suit évidemment de près toute action militaire à ses frontières, surtout à la frontière avec la Syrie, a déclaré à l'AFP cette source qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat.
                Interrogé jeudi sur la présence russe, le vice-Premier ministre turc Tugrul Türkes n'y a pas vu de menace pour la Turquie.
                Nous sommes au fait des agissements de la Russie. Les unités russes à Qamichli ne peuvent constituer une menace pour la Turquie, membre de l'Otan,, a-t-il dit lors d'une séance de questions au Parlement.
                Selon le quotidien Hürriyet, l'armée turque a creusé jeudi des tranchées dans la zone minée de la frontière turco-syrienne au niveau de Nusaybin. Des responsables militaires russes, dont certains des services de renseignement de l'armée, ont également visité Qamichli, a ajouté le journal.
                La Turquie et la Russie traversent une grave crise diplomatique depuis que l'aviation turque a abattu en novembre dernier un bombardier russe à la frontière syrienne.
                Ankara accuse Moscou, dernier soutien avec l'Iran du président syrien Bachar al-Assad, de prendre pour cible l'opposition modérée qu'elle soutient, sous couvert de campagne militaire contre les rebelles jihadistes, comme le groupe Etat islamique (EI), en Syrie.
Le ministre turc de l'Education Nabi Avci a affirmé au Parlement que les forces russes déployées à Qamichli entretenaient des liens avec les milices kurdes de Syrie.
                La Turquie s'inquiète ouvertement du renforcement de ces milices, les Unités de protection du peuple (YPG), à la pointe du combat contre l'EI. Ankara les considère comme une émanation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui mène la rébellion sur le sol turc depuis 1984.

Rapport minoritaire d'un incident Turco-américain (Whatdoesitmeans.com) : 
via Numidia Liberum et Alter Info :

SYRIE. La Turquie abat deux hélicoptères américains et tue leurs 12 soldats


Un rapport du Conseil de sécurité (SC) russe, circulant le 20/01/2016 au Kremlin, signale que les fonctionnaires du ministère russe de la Défense (MoD) ont été «abasourdis» la semaine dernière en apprenant qu’un avion de chasse turc, opérant dans son propre espace aérien, a tiré sur deux hélicoptères CH-53 Sea Stallion , appartenant aux US Marine Corps Forces Special Operations Command (MARSOC) et les a abattu sur la partie kurde du territoire syrien, en tuant les 12 soldats  américains à bord.

Selon ce rapport, le 14 Janvier, ces deux hélicoptères MARSOC partirent de la base aérienne Ayn al-Asad en Irak pour une mission "normale / de routine" de ré-approvisionnement des Marines et Forces spéciales britanniques, actuellement aidant les unités de protection du peuple kurde (YPG) luttant contre les terroristes de l’État islamique (ISIS/ISIL/Daesh) près de la frontière turque dans le nord est de la Syrie près de la ville de Raqqa,  lorsque ce «crime de guerre» a eu lieu.
Dès que les Forces aérospatiales russes ont détecté cette attaque provocatrice turque, contre les deux hélicoptères MARSOC, les commandants russes ont notifié au centre de commandement américain  Combined Air Operations Center (CAOC) à base aérienne Al Odeid au Qatar, leur volonté d'aider à la recherche des victimes, mais Américains ont déclaré ne pas avoir besoin d’aide, et  que leurs propres forces TRAP  (récupération tactique des aéronefs et du personnel) avaient déjà été alertées.
Photo : © USMC - Un CH-53E Super Stallion dépose une cargaison sur un navire.
Un CH-53E Super Stallion dépose une cargaison sur un navire.
Très bizarrement, dans les 5 heures qui ont suivi la destruction par la Turquie de ces deux hélicoptères MARSOC en Syrie, les satellites des Forces russes de surveillance aérospatiale de la région Pacifique ont détecté ce qu'ils croyaient être un test inopiné d'un missile RIM-8 Talos de US Navy, dans les eaux entourant les îles Hawaï. Cependant, dans les deux heures suivant le tir de ce missile et son explosion, l'US Navy  annonçait que deux de ses hélicoptères CH-53 se sont «percutés en vol», et annonçait hier qu'ils avaient cessé les recherches de ces avions et de ses membres d'équipage
Voici un résumé du communiqué officiel :

Dans la nuit du Jeudi 14 au Vendredi 15 Janvier 2016, deux hélicoptères CH-53E Super Stallion, appartenant à l'US Marine Corps (USMC), sont entrés en collision au-dessus des eaux de l'océan Pacifique nord, et à proximité de l'île de Oahu, qui fait partie de l'archipel d'Hawaï. L'US Marine Corps a confirmé que la collision se serait produite aux alentours de 23h15 (heure locale), le Jeudi soir, et que  douze militaires de l'USMC sont portés disparus après cet accident. Chaque hélicoptère était occupé par six personnels, dont des membres de l'équipage, et d'un groupe de militaires qui s'entraînaient dans la région. Au cours des opératios de recherche, des débris auraient été retrouvés à environ onze kilomètres au large de la rive nord de l'île d'Oahu. »

Quant à savoir pourquoi le régime Obama a délibérément caché au peuple américain ce "crime de guerre délibéré", il paraît que  le motif en serait la crainte des réactions de ses concitoyens en apprenant que 12 braves Marines américains ont été froidement tués par leur propre allié de l'OTAN, la Turquie. Ainsi, au moment même où les États-Unis se battent aux côtés du peuple kurde contre les terroristes de l’état islamique, la Turquie est en train de faire tout ce qu'elle peut pour détruire ce peuple.
D'ailleurs, les relations entre le régime Obama et la Turquie ne cessent de ses détériorer, à cause du soutien de l'Amérique au peuple kurde. Hier, les responsables turcs ont , à nouveau, mis en garde l'Amérique qu'ils ne toléreraient pas la participation des Kurdes aux prochains pourparlers de paix visant à mettre fin à la guerre en Syrie. Ainsi, le Premier ministre, Ahmet Davutoglu, a carrément dit aux États-Unis: «Nous n’accepterons jamais que l’YPG soit considéré comme faisant partie de l'opposition. Nous ne permettrons jamais que cela se produise, car l’YPG est une menace directe pour la Turquie ".





[2] « Turkey May Be Planninga Syrian Invasion :A ground incursion would pose yet another threat to the Islamic State while advancing Ankara's interests in the conflict. [La Turquie semble planifier une invasion syrienne : une incursion terrestre constituerait  une nouvelle menace contre l'État islamique, tandis qu'Ankara engagerait plus avant ses intérêts dans le conflit]», (Stratfor; 19 janvier 2016).

[3] "Pinzer", mot allemand utilisé par Pieczenik  : (mouvement "en pince"). 

[4] Shell-games : littéralement "jeux d'obus", on pourrait aussi dire wargames (au sens péjoratif, "jeu vidéo" / kriegspiel (ancien jeu de simulation guerrière tel qu'il était joué par les gentilshommes au XVIIIe siècle).

[5] Référence à «You Never Say Good Luck on Opening Night » (paroles), chanson issue du film «The Producers [Les Producteurs]», 1968.