Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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7 octobre 2016

Hillary Clinton : “Une Femme dans la foule”



Hillary Clinton : “Une Femme dans la foule”
 

Hillary Clinton : Une femme dans la foule!
Elle a débuté au fin fond de l’Arkansas rural de racines ignominieuses, pour parvenir au faîte de sa carrière politique et fuira en avant vers sa finale autodestruction. Ce narratif particulier semble une réplique « en miroir » du scénario d’un film américain classique de 1957 intitulés « un homme dans la foule [“A Face In The Crowd”]» , écrit par Budd Schulberg est dirigé par Elia Kazan.
Ce film me lança une étoile montante alors inconnue, Andy Griffith, jouant Larry "Lonesome" Rhodes, un dilettante alcoolique de la part Nord-Est rural de l’Arkansas. En un temps record, il rencontre la fortune et une grande réputation jusqu’à avoir de l’influence politique, grâce aux efforts de Patricia Neal (un petit producteur de radio locale). Alors que je revoyais ce film la nuit dernière, j’ai pensé tout d’un coup à deux habitants de l'Arkansas qui ont utilisé leurs dons folkloriques pour la palabre hypocrite, auxquelles ils ont dû leur ascension sur le m’a bien gras de la politique étatique [au niveau d’un Etat interna aux Etats-Unis] puis nationale [fédéral]

En particulier, Lonesome Rhodes, était le portrait craché de Bill Clinton, a vagabond itinérant n’ayant pas d’autres histoires que l’art de faire croire à des histoires imaginaires [make believe storylines], qu’il a créé afin de séduire une audience de croyants de plus en plus large. Clinton, à l’instar de Rhodes, n’a dépendu que de la gentillesse d’étrangers, en particulier Sam Walton, l’ancien officier du renseignement militaire qui était en charge des camps d’internement Italo-allemands aux États-Unis durant la Deuxième Guerre mondiale. Depuis cela, Rhodes/Clinton parvint à utiliser ses homélies pour voler la réélection de George H.W. Bush pour parvenir à devenir POTUS [Président].
Parallèlement, j’ai imaginé ensuite Hillary en tant que sœur d’arme de Bill, facilitant, encourageant et flattant à la fois son émergence (à lui comme elle) au plus haut niveau du Gouvernement US [USG]. En réalité, Hillary n’a rien accompli d’autre de tangible qu’une série de palabres mettant l’action sur « le fait d’être ensemble [‘togetherness’] » et toujours « plus de programmes sociaux [more social welfare programs] », tandis qu’elle se rendait coupable de toujours plus de frauder de félonies.
Comme Rhodes, Hillary ne croit pas un seul de ses traîtres mot. Au lieu de cela, elle court les faveurs des banquiers de NYC, et autres généreux donateurs, lui permettant d’amasser une incroyable fortune basée sur rien d’autre qu’une collusion stratifiée impliquant des schémas revenant à « payer pour jouer [pay-to-play schemes] » (Fondation Clinton)].
À présent, ce que je sondais l’internet, j’ai découvert que Marc Fisher, un journaliste du Washington Post, avait eu une similaire à la mienne. Pourtant, Marc comparait Rhodes à Donald Trump. Laissez-moi citer son analyse intéressante :
« La façon dont Trump fracasse les règles établies, pourrait n’avoir aucun précédent dans les annales des campagnes présidentielles, cependant le modèle de ces fabuleux (et le potentiel pour une chute tout aussi dure), a été évoqué dans « Un homme dans la foule »... ou un charmant voyageur de l’Arkansas monte en flèche à partir d'une cellule sale de prison jusqu’à son apogée en tant qu’une célébrité américaine ayant du pouvoir politique ».
(



« Contrairement à Trump, Rhodes n’a pas d’argent avant de commencer à tirer le public. Mais le reste de son histoire est un portrait révélateur en forme d’avertissement, de ce qu’il arrive quand un non-politicien capture l’imagination américaine, exprimant la frustration et les aspirations du peuple, gagnant les cœurs et la confiance, et dispersant dans le paysage de choix qui rappelle qu’au dessous de ses mensonges ayant l’apparence de la réalité, il y a un mépris hargneux
Comme Trump, Rhodes offre un rappel de ce que la démagogie d’une personne est un autre populisme. Ajouter une dose d’arrogance, et le résultat ressemble à une chute dramatique qui attend son heure ».
Bien sûr, ce qui manque dans le discours de Marc, c’est le fait que c’est bien Hillary qui a commis le péché capital d’arrogance, du mépris et de la criminalité par le viol de notre sécurité nationale, assortis de son dédain pour des emails classifiés. De manière similaire, il ne fait pas l’ombre d’un doute qu’Hillary souffre d’une maladie de Parkinson sévère ainsi que de ses effets secondaires dangereux concomitants (dystonie, pneumonie létale, commotion cérébrale).  Elle essaye pourtant de balayer ces murmures qui commencent à rugir, quant aux fêtes qu’elle ne serait pas mentalement ou physiquement capable d’endosser le plus stressant rôle qui soit, celui de POTUS.


De plus, la grande presse veut occulter le fait que Trump fut et demeure un homme d’affaires plein de succès sur de nombreux fronts.  Ces enfants sont élégants, sont des adultes productifs qui font eux-mêmes des carrières crédibles. Chacun agit en tant que porte-parole et témoignage d’un citoyen américain très qualifié qui veut « rendre l’Amérique de nouveau grande “make America Great Again” ».
Foutue réalité, proclame Hillary !
Ma destinée, ou rien d’autre !
Ceci représente le danger ultime d’une ambition politique implacable pure, aveugle aux besoins de notre population et face à notre position déclinante dans l'arène internationale. Hillary est une femme dans la foule qui voudra réaffirmer l’incompétence de ces 30 dernières années, tandis que des « politiciens professionnels », on les appelle, gouvernèrent et ruinèrent notre pays !


            Merci à vous, Budd Shulberg et Elia Kazan (qui étaient tous deux des dénonciateurs au sein des audiences du Comité d’extrême droite HUAC durant les années 1950, dénonçant systématiquement leurs très chers « conspirateurs co-communistes [“co-communist conspirators”] ».  Ces deux-là expliquèrent leurs agissements néfastes dans le film encore plus brillant qu’ils créèrent quelques années plus tard : « Sur les quais [“On The Waterfront”] » avec Marlon Brando (sur les mouchards !)
            Autrefois Hollywood était donc un lieu où des films intelligents, plein de réflexion et de controverse était tournée. Aujourd’hui, comme il en va de ce que nous appelons nos « honorables élections/politique »… ceci a aussi disparu. 

            Il y a un vieux proverbe dit quelque chose comme cela : « L'âge et la trahison triomphent de la jeunesse et la compétence. »