Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

21 avril 2017

Sur Jared Kushner, et les prises qu’ils offre pour des intérêts distincts de l’intérêt public Américain…



Analyse CVR, d’après Stave Pieczenik :
Sur Jared Kushner, et les prises qu’ils offre pour des intérêts distincts de l’intérêt public Américain…

Les conflits d’intérêts et les possibilités d’influence :
 si l’on rapproche sa situation d’autres personnages cités par Pieczenik, comme Ezra Cohen-Watnick², un jeune inexpérimenté propulsé comme par magie à la tête du Renseignement [Senior Director for Intelligence au Conseil de Sécurité Nationale][1], il se passe quelque chose au sein de l’Administration Trump, qui pour reprendre les mots de Pieczenik, « n’est simplement pas acceptable ». « Ces individus ne devraient pas être impliqués dans des affaires étrangères, ou laissés seuls avec des enjeux domestiques ». Concernant Jared Kushner, le jugement de Pieczenik est sans appel : « son temps devrait être passé à trouver une hypothèque sur son building, et non pas à la Maison-Blanche » [2]

Deux choses semblent claires à cet égard :
Premièrement, il faut comprendre que si Trump a fait des affaires à New York, il a de toute façon « croqué » dans bon nombre de combines interlopes : des combines qui permettent de “tenir“ sélectivement tous les opérateurs impliqués, afin de pouvoir “griller“ sélectivement des gêneurs indociles[3]. C’est-à-dire que Trump est certainement de toute façon tenue par quelques affaires, mais des affaires relativement mineures. En revanche, il sait très bien à qui il a dû sa fortune immobilière : il n’aurait jamais pu la constituer sans de bonnes voire d’excellentes relations avec la communauté juive de New York[4].
Partant de là, et aux yeux et au vu des éléments qui précèdent, auxquels il convient d’ajouter l’aspect aussi symbolique que narcissique du n°666 5th Avenue à NY (au prix d’une affaire fragile risquant la banqueroute), on peut dernier facilement quelques fragilités chez Jared Kushner, le rendant vulnérable à des influences extérieures…
Jared Kushner se trouve en pleine situation de conflit d’intérêt : lui-même en matière immobilière à New York, ou par sa recherche de désespéré de financements chinois, ou tout autant sa femme Ivanka Trump concernant ses affaires en Chine. Et ce sont des mesures uniquement cosmétiques qui semblent prises pour y remédier[5].
 Pieczenik évoque à bon droit en ce sens, le fait que Jared Kushner puisse constituer un atout « achetable » notamment du point de vue des intérêts chinois. Et en ce sens, la situation aboutirait à ce que Donald Trump prenne l’exacte suite des scandales de corruption chinoise associée aux époux Clinton : Bill comme Hillary.
Sauf que Pieczenik insiste pas sur un second point : il y a tout lieu de croire que Jared Kushner puisse être tout autant, et même préalablement, un atout « achetable » dans la main de la communauté juive de New York. Par cette communauté juive de New York et celle que dénonce Pieczenik régulièrement, comme poussant le monde entier la révolution et Israël à se faire détester, tandis que les vrais Israéliens Sabras sont nettement moins bellicistes et beaucoup plus pragmatiques.
Poser par suite « la question qui fâche » n’est que faire un pas de plus : c’est envisager des proximités entre Kushner et Israël, voire de le considérer comme un sayan d’une façon ou d’une autre[6], du fait de sa proximité absolument claire et hautement anormale, évidente depuis la visite de Netanyahu précitée à New York.
Il est donc légitime d’envisager que Kushner plus être avant tout avant tout au sein de l’Administration Trump, afin de s’assurer qu’y soit subtilement promu l’agenda israélien, en plaçant subtilement des pions illégitimes aux endroits stratégiques, comme le cas d’Ezra Cohen-Watnick : un jeune homme du même âge que Jared Kushner, à la légitimité à la légitimité tout aussi discutable pour superviser le renseignement au sein du conseil de sécurité nationale, « et il est dit être l’une des [deux] sources qui ont fait fuiter de l’information vers Nunes » [7] dans l’affaire récente des écoutes (voir les sources précitées plus haut).
Pire encore, d’autres éléments tout à fait interlopes gravitent autour de Trump, comme Michel Cohen, générant auprès de lui de nouveaux scandales dont on ne parle pas encore, mais qui aboutiraient évidemment à éclabousser Trump[8].

En se remémorant les mots acerbes de Pieczenik sur ce genre d’affaires ((« “Les Trois Amigos”: Anthony Weiner, Bob Filner, Eliot Spitzer... » (Pieczenik, CVR, 1 août 2013), en gardant également en arrière-plan les articles tout à fait critiques de William Engdahl sur les antécédents de Trump («Un parrain de la mafia croisée avec une Pompadour » ; CVR, 17 mars 2016), il n’est pas difficile d’identifier très clairement une certaine pesanteur étroitement liée à certaines déviances artificielles propres au judaïsme. Le judaïsme en ce sens c’est un problème humain, et certainement pas religieux.
Mais pire, ces gens-là fonctionnent en réseau et incapacitent d’un côté les Bannon et Flynn  pour promouvoir des Ezra Cohen-Watnick, les mêmes qui poussent au final un agenda messianique israélien que les serviteurs pragmatiques de l’État israélien eux-mêmes fustigent[9] : « Ezra Cohen-Watnick est connu pour tenir des vues bellicistes contre l’Iran…»[10]… ce que deux anciens patrons du Mossad (Meïr Dagan[11] puis plus récemment Tamir Pardo[12], précités plus haut), démentent.
En ayant à l’esprit toute une série d’anciennes entrevues données parfaites uniques concernant spécialement Benyamin Nétanyahou, depuis 2012, il y a bien une lutte interne entre d’une part les fauteurs de guerre animés d’une pulsion d’autodestruction, dont les pires ne vivent même pas en Israël et n’ont jamais servi l’État israélien, et d’autre part des éléments plus pragmatiques tentant de limiter les conséquences d’un messianisme dangereux, en Israël comme aux États-Unis.

Il y a une asymétrie de traitement médiatique évidente, entre le de gens comme Steve Bannon (Conseiller stratège en communication de Donald Trump), volontiers inquiété d’un côté, et de l’autre Cohen, ou Gary Cohn, l’ex-président de la puissante banque Goldman Sachs qui dirige le National Economic Council (NEC).
« M. Cohn a fait état d’avoirs valant entre 253 millions et 611 millions de dollars, et d’un revenu allant jusqu’à 77 millions de dollars en 2016.
Les avoirs les plus importants de M. Bannon sont sa firme privée de consultant, évaluée entre 5 et 25 millions de dollars. Il a déclaré avoir été payé 191.000 dollars comme consultant de la part du site d’information pro-Trump Breitbart News qu’il dirigeait auparavant, et plus de 125.000 dollars pour avoir travaillé à la firme de données Cambridge Analytica, qui oeuvrait pour la campagne Trump.
L’administration Trump est considérée comme une des plus riches de l’histoire des Etats-Unis. L’agence Bloomberg estime que les fortunes cumulées de ses ministres et ses hauts responsables atteignent quelque 12 milliards de dollars. »[13]

Il est révélateur de remarquer comme les médias PC [Politiquement Corrects/Principaux Courants/MainStream] aux ordres, tentent de faire fallacieusement passer Viktor Orban pour infréquentable[14]. Rapprocher ceci du raid de soi-disant « militants d’extrême-droite » contre les officines de Soros ont envie[15]. Il semble évident que toute personne s’opposant aux desseins interlopes d’un tel personnage, se trouve naturellement ciblée par une presse résolument juive faisant bloc, et affublé de toutes sortes d’appellations supposées déclencher l’opprobre social… Sans comprendre qu’en soutenant ainsi des éléments tellement malintentionnés, c’est sur l’intégralité des juifs que peut retomber agissements de quelques-uns. C’est une terrible impression d’histoire qui se répète, encore et encore, au sein du judaïsme, depuis les toutes premières et expulsion du temps de l’Empire Parthe, sans doute même avant…




[3] Voir notamment l'article de William Engdhal : «Un parrain de la mafia croisé avec une Pompadour » (« [additif] Sur le passé de Trump, par F. William Engdahl : le duel des destins des Etats-Unis, entre Trump et Hillary » ; CVR, 17 mars 2016).
[4] C'était déjà le cas dans les années 1930, pour une rare source française : « URSS-USA », de Pierre Fontaine (Editions Les Sept Couleurs, 1960).
[12] « Mossad Chief: Nuclear Iran Not Necessarily Existential Threat to Israel » (Haaretz, 29 dec. 2011). « Ex-chef du Mossad : Israël “risque la guerre civile” » (Time of Israel, 31 août 2016) : « Pardo a également critiqué le ministère de la Défense d’Avigdor Liberman pour avoir comparé l’accord nucléaire signé l’année dernière avec l’Iran aux accords de Munich signés par les puissances européennes avec l’Allemagne nazie en 1938. L’histoire ne se répète pas, a-t-il déclaré, ajoutant qu’il était faux de comparer des évènements qui ont eu lieu à des époques si différentes. ».
[14] « L’étrange Europe de Viktor Orban » (LE MONDE | 23.09.2015).